LIBEREZ SONKO ET TOUS LES PRISONNIERS POLITIQUES AU SENEGAL. IL EST ENCORE TEMPS D’EVITER UNE NOUVELLE EFFUSION DE SANG ?

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LIBEREZ SONKO ET TOUS LES PRISONNIERS POLITIQUES AU SENEGAL. IL EST ENCORE TEMPS D’EVITER UNE NOUVELLE EFFUSION DE SANG ?

Avant tout je demanderai avec toute la solennité qui siée : Sonko, mangez et prenez des forces !

Je respecte le courage et reconnais l’enjeu.

Cependant je ne peux m’empêcher de penser que 6 mois c’est très peu pour se remettre en forme et se jeter dans une campagne présidentielle.

Cette jeunesse qui entend ta voie l’attend dans toute sa vigueur et toute sa clarté.

Voilà le message que j’avais formulé pour Pape Alé Niang et je vous adresse le même en le lui renouvelant et plus encore … : Face à la censure : tiens bon Baye Alé ! | https://devousdemoi.blogspot.com/2022/12/tiens-bon-baye-ale.html

‘’ […] Ce n’était partout que remous d’êtres et de choses. Ici, tourmentes d’intérêts, de hontes et d’orgueil ; là-bas, conflits obscurs, impénétrables ; plus loin, héroïsmes sublimes. Toutes possibilités humaines confondues, déchainées, furieuses, avides d’impossible couraient les chemins et les fondrières du monde. La mort hurlait dans la mousse sanglante de ses légions disparates ; du Nil à Stockholm et de Vendée jusqu’en Russie, cent armées invoquèrent dans la même temps cent raisons d’être sauvages. Les frontières ravagées, fondées dans un immense royaume de Frénésie, les hommes voulant du progrès et le progrès voulant des hommes, voilà, ce que furent ces noces énormes. L’humanité s’ennuyait, elle brûla quelques Dieux, changea de costume et paya l’Histoire de quelques gloires nouvelles.

[…]

En 93, on fit les frais d’un Roi.

Proprement il fut sacrifié en place de Grève. Au tranchant de son cou, jaillit une sensation nouvelle : l’Egalité. Tout le monde en voulut, ce fut une rage. L’Homicide est une fonction quotidienne des peuples, […]

On osa. Personne ne voulait le dire, mais la Bête était chez nous, aux pieds des tribunaux, dans les draperies de la guillotine, gueule ouverte. Il fallut bien l’occuper.’’

Louis Destouches | La vie et l’œuvres de Philippe Ignace Semmelweis (1818-1865) | Thèse de médecine

Une statue érigée sur l'île de Gorée, au large de Dakar, point de départ de très nombreux esclaves vers les Amériques. AFP/SEYLLOU

Restez focus !
Ne ciblez personne ;
n'invectivez personne ;
Les faucons des faux comptes qui pullulent la toile s'en chargent bien ! Ironie de l'histoire :
* les mouvements du régime ont été incapables d'organiser un meeting
* malgré "la com'", l'opinion cherche toujours les faits de terrorisme et d'actes de forces occultes qui ne viendraient pas de « toute supposition évidente » du même camp : le régime actuel !

Il semble bien que le chien se mord la queue !
A partir du moment où l'opinion se pose la question de savoir :
> De quel camp es-tu ?
> En quoi es-tu président ?
> De quel pays, pour quel projet et par quelles valeurs tu fais ce "chemin de pouvoir" ?

Il va de soi que ton régime a peut-être une légitimité « institutionnelle » mais n’a plus de légitimé populaire. Dans la mesure où on ne gouverne que par et pour la légitimité de cette dernière. Votre présence devient inutile. Gênante ! Encombrante !

Pire, elle devient une entrave à la raison même de ta présence : la démocratie.

Les rares mots français qui correspondent sont monarque, imposteur ou dictateur !

La démocratie n’est ni « na book rek ! » (Ce qui compte moi c’est d’être candidat ; par tous les moyens). Ni, comme Le président actuel voit sa relation avec la population, maintenant que je suis élu, vous devez courber l’échine. Il ne suffit plus de demander, vous devrez exulter avec allégresse et espérer mon indulgence. Ma clémence.

La miséricorde de sa majesté descendant des rois et des guerriers inconnus du bataillon ! Niaan ndièk !

A partir du moment où on a sollicité l'adhésion du peuple, qu'on est choisi, qu'on a prêté serment on se soumet en soumettant au peuple ses points de vue et le sens de ses décisions.
Pourquoi s'entêtent-ils à se cacher ? À mentir ?

Pourquoi ont-ils autant de facilité à trahir ?

2 ans !

2 ans, c’est le temps qu’il leur faut pour se retourner contre la population.

Ordrigarchie

Parlons un peu d'un moment fondateur. Pour ma part je pense qu'un peuple qui n'a de choix que de confier sa destinée à une oligarchie est nécessairement en proie au déclin.
Ce dernier veut tout pour soit, une fois qu'il a presque tout, il vise tout le reste du tout en protégeant ce qu'il a déjà pour lui en le fructifiant. Un beau jour il se rend compte qu'il n'y a pas que ça qui compte alors il s'attaque aux gens, à la connaissance et la croyance… Le tout n’est qu’un mirage ! Il l’ignore !

Ce qui ne rentre jamais dans son équation c'est : que veulent les autres ?
Un pays est une variété, un cumule de singularité aussi bien dans les espaces que les individus ; autant en territoires qu’en rêves. Il faut accorder sa partition à un mouvement d'ensemble vers une vie bonne pour chacun, chaque espèce et chaque espace.

Ce qui fait la grandeur d'un état - non d'un peuple - c'est sa puissance économique. Elle lui permet de peser de tout son poids sur les relations qu'il entretien avec ses voisins. Soit en leur imposant gentiment des règles de soumissions douces par ce qu'il appellera influence, diplomatie, relation bilatérale... un blabla littéraire qui n'a de vrai nom que la domination économique pour une soumission masquée sous la forme d’un volontariat. Soit en bandant les muscles : capacité première qu'offre l'argent : lever une armée ! Quand cette force doit s'abattre sur sa propre population on préféra le terme d'ordre à l'influence et police à armée. Le but ou le jeu est le même.

La population n’est une variable d’ajustement et sa volonté n’est que secondaire tant qu’elle peut être contenue par la force : médiatique (rhétorique, publicité, mensonge ; ils appellent ça de la communication), répression (police, justice, prison), totalitaire (couvre-feu, état d’urgence, pensée unique = dictature).

La volonté populaire


La différence avec un peuple c'est le volontariat. La volonté volontaire. Pas un masque.
La ou un démocrate te parlera de volonté populaire et de justice, l'autocrate lui rétorquera par la responsabilité et l’ordre.

C'est pour cela que je préfère le terme de volontariat à servitude ou autre « républicanité » grotesque et insensé.

Sans aller plus loin. Cette introduction était nécessaire à mon avis pour décrire la situation actuelle au Sénégal.

Enfin proches d’une campagne électorale et du débat d’idées tant fuit par Macky Sall

L’opposant sénégalais Ousmane Sonko (à d.) lors d’un meeting à Ziguinchor, son fief, le 24 mai 2023. © MUHAMADOU BITTAYE / AFP.

 
En réalité nous n'avons jamais été plus proches d'une sortie de crise.
A 6 mois des élections il faudrait être fou pour souhaiter continuer le statuquo actuel.
Les deux parties tiennent chacun le bout du même fil.

 Sonko dans sa démarche et dans ses propositions – Le projet - souhaite renforcer la démocratie sénégalaise, la justice... la gouvernance par la volonté populaire.

Le fait même qu'il soit injustement jugé était une belle épée de Damoclès sur son curriculum. Le déballage actuel sur le présidentialisme par du justicialisme et rien d’autre n’est que la partie visible du mal. Il a donc, comme nous tous, bien raison de ne plus faire confiance à la justice (pour ne pas dire certains magistrats / les mêmes bourreaux de Bassirou Diomaye Faye) encore moins à la police (une certaine police) et aux politiciens professionnels (les boys Dakar !). Mais il y a bien mille lieux entre la confiance, la désobéissance civile et le coup d’état.  

Pour rappel, le 1er juin dernier, l’opposant Ousmane Sonko avait été condamné à 2 ans de prison par la chambre criminelle pour « corruption de la jeunesse » ; une décision sortie du chapeau de la justice sénégalaise qui n’a pas fini d’éberluer la population.  

Voilà où est-ce que cette histoire sénégalo-sénégalaise entre en résonnance avec cette éminence que fut Socrate.

« Socrate est considéré par beaucoup comme le père fondateur de la philosophie occidentale et comme l'une des figures les plus énigmatiques de l'histoire ancienne. Il n'a rien écrit lui-même, de sorte que toute la connaissance du philosophe grec a été transmise par les écrits de ses contemporains et de ses étudiants, principalement son brillant élève Platon. »

Cette présentation succincte

Socrate fut condamné à mort en 399 av. J.-C. pour avoir fait preuve d'irrévérence envers les dieux - Tableau : "La mort de Socrate". | PHOTOGRAPHIE DE VCG Wilson, Corbis, Getty

Mais rappelons que sa notoriété était déjà en marche. Il s’était fait remarquer comme étant un guerrier (hoplite, fantassin | guerre du Péloponnèse opposant Athènes et Sparte), teigneux, endurant et protecteur des siens (il aurait sauvé la vie d'Alcibiade, un général athénien respecté de tous).

Ce n'est sûrement pas un hasard que pour les sénégalais la condamnation de Ousmane Sonko, adossée au terme d’une « corruption a la jeunesse" rappelle plus que le motif injuste et rare mais aussi la nuance sinon la ressemblance sur la « sagesse » et ou de la recherche de « la vérité ».

Je ne suis certainement pas en train de faire une apologie du « philosophe roi » ou du « roi philosophe ».

Je résumerai juste ce petit rapprochement en disant que c’est « la guerre des mots ». Ceux qui n’en ont pas, ne trouve aucun complexe à se l’est approprier, à les subtiliser. A les voler !

En politique qui détient les mots détient le suffrage

Sonko est depuis 2016, apparu en premier loge, occupant non seulement l’espace politique mais aussi en confisquant les mots de la politique. Se faisant le cœur d’une jeunesse qui y trouve un écho à son désire. Plus encore son mouvement d’émancipation. Une poussée d’une volonté, d’un désire d’une maturité politique transgénérationnelle qui ne demandait qu’à être exprimée. Expliquée et surtout portée.

Voilà donc ce que Sonko, ses amis et les plus de mille autres prisonniers politiques de Macky Sall, endossent au prix de leur liberté, leur santé, leur vie !   

Beaucoup ont donc parlé de ce fait historique pour rappeler un certain caractère « intime » ou pervers. Mais le plus important pour moi était sans doute le fait même que Socrates ait été mené - tout porte à croire - à la mort par ses détracteurs.

Tout le monde connait sa maxime, « tout ce que je sais c’est que je ne sais rien ! ». Il ne s’est pas limité là. Il est allé voir d’abord notables et politiques avec des questions sur différents sujets de sociétés… puis aux gens « simples » de tous métiers… il s’est révélé qu’il était – soyons poli – déçu par leur niveau de connaissance (là à c’est moi qui extrapole : autant de la perception du monde, de l’impact de leur métier et de leur responsabilité dans la société que des faits autres qui relèveraient de la réflexion et de la connaissance pur de l’univers, de l’environnement et des êtres qui les entourent… mais également des liens d’influence, d’intérêts et de subordination qu’engendrent les positions des uns et des autres…)

Ce que d’habitude les gens, surtout les politiciens, préfèrent secret.

Devenu gênant par sa science, la nouveauté de ses idées mais surtout l’attirance sinon l’intérêt toujours grandissant de son aura envers la jeunesse. Bourdieu dirait peut-être que le système s’est senti menacé et a fait de lui un ennemi plus que quelqu’un travailleur désireux de construire de nouveau citoyen capable de se poser des question, d’analyse et tenter de trouver des solutions de leur propre chef. R. Girard et N. Elias eux pointerait le fait même que la légitimité de ce dernier – le pouvoir qui prétend détenir la force – a trouvé en lui un bouc-émissaire.
Néanmoins, Socrates aurait bien pu accepter le plan d'évasion proposé par Criton (Platon, Devoir du citoyen). Il a décidé de refuser cette offre optant pour le respect de sa condamnation.

Ce qui a sauvé son message car s'il y avait souscrit comment aurait-il encore pu défendre le respect de la loi ? De l'extérieur ? Exilé ? Il aurait de toute façon commis l'injustice ultime selon sa pensée ou sa vision de la société : commettre à son tour une injustice.
Celle de se soustraire à la loi d'Athènes !
Quel que soit le motif (abus de pouvoir, injustice, erreur judiciaire...).
Car ne doit-il obéissance aux lois que quand on pense et qu'on les tient pour justes ? Le seul avenir d'une telle vision c'est l'anarchie. C'est quand chacun se taille sa justice sur mesure.

Sonko justiciable comme tout sénégalais

Revenant sur Sonko, le centre de son projet c'est la justice (rendre le pouvoir à la volonté populaire, mettre les ressources et les moyens du aux pays, se mettre avec les sénégalais au travail pour l'autonomie et le bien-être et la justice pour tous...). C'est de là que partent tous les autres membres de sa vision ;

-      Enquêter (Pétrole et gaz au Sénégal. Chronique d’une spoliation | Fauves éditions | Mai 2017) ;

-     Trouver les mots (député à l'Assemblée nationale de 2017 à 2022),

-      Donner une vision (Solutions. Pour un Sénégal nouveau | Septembre 2018)

Ce qui me va comme démarche et attise ma soif. Mon souhait était bien sûr de voir les autres prétendants s’animer, s’activer pour lui emboiter le pas avec des arguments et de proposition. Ce dont le Sénégal est largement capable de produire.

Régime caduc et amateur
Dans sa précipitation et sa soif de faire du mal « le régime » s’est encore illustré en arrêtant l’opposant Ousmane Sonko pour « vol de portable » (oui vol d’un portable « Wiko » ou « Techno » ! ;).  Seulement cette fois-ci l’opposant est injustement bel et bien en prison. Rejoignant le millier d'autres sénégalais qui alertaient et le défendaient au nom de sa liberté d’opinion.

Alors même que l’opinion voit en Ousmane Sonko un homme politique, honnête dans son rendu à la nation (15 années de fonction publique), avec une vision politique. Il tient le "kadiandou" (outil traditionnel chez les Jolas, utilisé pour le labour de la terre dans la culture du riz) comme tous mes joolas, mange des beignets "dugup » (à base de farine de mil ou millet) comme tous les sénégalais et pour finir justiciable comme tout "gorgorlou" (débrouillard).

Ce qui arrive actuellement est, l’on pourra dire, un « accident favorable". Le devoir de mémoire qui le lie désormais, comme tous les sénégalais, aux morts dans la résistance, au millier de prisonniers, aux mutilés... restera un miroir par lequel il pourra toujours objectiver cette obéissance à la loi. Quel que soit les risques, son exigence absolue à celle-ci.

C’est donc dommageable mais cette situation lui enlève cette épine du pieds.

Par-delà tout : la justice est au peuple sénégalais. Si ce dernier venait à décider comme en mars 2021 que la place de Sonko n'est pas en prison rien ne peut résister à sa défense. Faudrait-il qu'il le sache et l'affirme à tout instant en surveillant comme du lait sur le feu sa constitution, ses lois et sa justice.
C'est une contre désobéissance civile (objection de conscience (Antigone)


Macky
Dans le camp d’en face. On ne pouvait mieux attendre d’une telle stupidité l’opportunité d’une sortie de crise. Jugé en contumace, Sonko volatilisé lors de son procès est aujourd'hui aux mains de la justice. Fin de discussion : on libre pour de bon ! (Car tout est lié. Le caractère léger du motif en est une démonstration flagrante !)  
Puis cassassions ou jugement à nouveau. Mais souvenons-nous que tout ceci n'est que le jeu du « pouvoir » en place.

Pensons à l'avenir.
Assez de bêtises !

SAUVEGARDER LE TRAVAIL DES ANCIENS
Restez concentrés et dirigez votre caravane sur votre seul et inique "opposant" : Macky Sall !
Il a fait le choix de se comporter en ennemi ;
Il a pris la responsabilité, au vu et au su du monde, d'agir en "bourreau » ;
Mais restez concentrés !

Ceux qui devraient parler et qui ne parlent pas;
Ceux qui devraient se battre à vos côtés et qui préfèrent les "tweets" et les roues climatisées, se hâtant de gagner quelques cœurs airant, continueront toute leur vie de raser les murs;
Comme un "avocat" que tout le monde connaît, ils iront sur tous les plateaux crier leur message d'antan;
Leur bravoure d'à l'époque;
Leur caractère jadis;
Et les esprits libres et remplis de souvenirs, de tristesse et d'horreur face à l'indécence;
Non surpris, regarderont ailleurs.

L'histoire ne se barricade jamais à qui sait la lire !

« Prêtez l'oreille à l'espérance
Un âge d'or vous est promis. »

(Bêtes d’Angleterre | en anglais : Beasts of England | George Orwell | La Ferme des animaux | 1945)

Alors qu’il souhaite tout simplement, comme lui autorise notre constitution et nos lois, aller à la rencontre des sénégalais pour leur soumettre son projet, être en contact avec ses partisans, on l'enjoint incessamment à la table de l'invective, des calomnies, des convocations, des procès et pour finir l'enfermer.


Ce que Sonko souhaite pour le pays n'est-ce pas ce que nous voulons tous ?

Donc qu'il soit là ou pas l'histoire continuera à s'écrire. Seulement, le fait même qu’ils s’en sont pris à Bassirou Diomaye Faye, à Pape Ndiaye, à Pape Alé Niang, à Serigne Cheikh Bara Ndiaye, Pr Cheikh Oumar Diagne, Abdou Karim Guèye alias « Karim Xrum Xax », Outhmaan Diagne du Mafia kacc kacc, Juan Branco ... confirme que ce n'est sans doute pas la personne particulièrement de Sonko qui dérange mais ses idées. Et mieux encoure l’adhésion qu’elles rencontrent. 

Quelle idée saugrenue que de vouloir la justice et la liberté !
Quelle prétention que d'appeler ce monde à l'indépendance et à la souveraineté !
Quelle audace que de ne plus caresser et de baiser avec allégresse et allégeance - « ndièk » - les chaine qui ne te lie que les deux chevilles !
Quelle indignité que "d'éduquer" le peuple !
Quelle faute grave alors que de rester éveillé !

S'en prendre à l’opposant Ousmane Sonko c'est s'en prendre à nous tous.

Ne rien faire ;

Le laisser faire face, seul faire à l'ogre affamée, c'est nous laisser nous-même mourir à petit feu. C’est prêter le second flan, le seul qu'il nous reste, pour nous faire abattre.
On n'est sûrement pas obligé d'être du Pastef ou de porter un bracelet pour le comprendre.

La tension dans le pays vient d’un fait que tous observateurs conscients savent au plus profond de nous. Nous sentons ce poids lourd de la vérité et la flagrance de l'évidence. Il il y a deux camps : ceux qui disent NON et ceux qui ACCEPENT !

Ousmane Sonko a fait sa part;

Aux sénagalais de faire la leur pour défendre la nation avec Pape Alé Niang, Pape Ndiaye, Cheikh Bara Ndiaye ... 

C'est notre seul devoir !

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