LE SÉNÉGAL DANS LA TÊTE DU PRÉSIDENT : ...?.. ?/+"*§ ?* » ( ! )

LE SÉNÉGAL DANS LA TÊTE DU PRÉSIDENT :  ...?.. ?/+"*§ ?* » ( ! )

Cette dérive autoritariste suivi d'un coup d'état qui se peaufine depuis 2014 et qui n'aura pas lieu

Démocratie ?

Manœuvre après manœuvre pour un déguisement aux alouettes

L’humanité. Un prétexte pour dépasser l’amateurisme, la cupidité et l’horreur

Le poisson se désintègre par la tête ;

Et maintenant : le saccage de l’administration !

 

SEULEMENT LÀ : NOUS SOMMES PRESSÉS. NOUS AVONS UN AVENIR, DÉSIRABLE ET DURABLE À CONSTRUIRE !

CETTE DÉRIVE AUTORITARISTE SUIVI D'UN COUP D'ÉTAT QUI SE PEAUFINE DEPUIS 2014 ET QUI N'AURA PAS LIEU


Niani bagn na !

"Tout se perdait dans le brouillard. Le passé était raturé, la rature oubliée et le mensonge devenait vérité."


Georges Orwell (1903-1950 / 47 ans) | Cité dans le Un Hebdo n°471, mercredi 15 novembre 2023 | Israël-Palestine| La Guerre Des Opinions
p.4./

Article 9 | Tout homme étant présumé innocent jusqu'à ce qu'il ait été déclaré coupable, s'il est jugé indispensable de l'arrêter, toute rigueur qui ne serait pas nécessaire pour s'assurer de sa personne doit être sévèrement réprimée par la loi.

« La Déclaration des droits de l'homme et du citoyen est née à l’été 1789  /  « naturels et imprescriptibles » que sont la liberté, la propriété, la sûreté, la résistance à l'oppression, elle reconnaît l'égalité devant la loi et la justice, et elle affirme le principe de la séparation des pouvoirs. » »

Posons d'emblée l'état des lieux : le président actuel du Sénégal vente notre démocratie devant toutes les chancelleries et représentations et continue de nous représenter auprès des nations avec l'étiquette : DÉMOCRATIE !

Ah oui : une démocratie ?

Au Sénégal, depuis 2014, 2 ans seulement après le plébiscite pour la JUSTICE et à la vraie DÉMOCRATIE qui a arraché Macky Sall des griffes de Wade [le père politique auprès de qui il a fait ses dents #trahison] , ancien président dans sa dérive d'antan, avant de faire de lui le nouveau président, se joue un véritable "conflit". Plus que jamais, c'est l'avenir du pays pour les 15, 25... années à venir qui est enjeu.

En lieu et place d'une opposition d'idées, de visions et de programmes, c'est une véritable chasse à l'homme qui se déroule entre un EXCECUTIF avec son premier bras armé légalement et officiellement constitué, une certaine POLICE et le second constitué de bras cassés et d'écervelés - jugement des actes et de la morale qui les anime - de la nation : des NERVIS. Des coquilles vides près à tabasser, massacrer. Tuer pour quelques billets de surcroît volés aux deniers publics. Contre ce qui reste de valeureux et de sérieux de la JUSTICE, de la PRESSE LIBRE et du souverain : LE PEUPLE SÉNÉGALAIS.
Mais surtout, toujours plus, contre la jeunesse sénégalaise qui, on le voit, après chaque forfaiture du régime accentue le mouvement vers le péril, vers l'océan.
Vers
« l'espoir ».
« L'espérance ».
La MORT !

Disons-le tout de suite le peuple théorique c'est ceux qui n'ont, théoriquement, ni pouvoir ni influences sur les
politiques publiques ; instrument incontournable de sa condition d'existence. Et en cela qu'il constitue, paradoxalement, le grand nombre, le détenteur de la force de production, sa consommation... Sujet de l'intérêt général dans le modèle en question.
Il englobe les "innocents", les indifférents et les partisans.

Ceci est mon postulat !

MANŒUVRE APRÈS MANŒUVRE POUR UN DÉGUISEMENT AUX ALOUETTES

Depuis bien plus de 6 ans, l'observatoire international tout autant averti qu'indiffèrent, assiste. Inerte.
En silence !
Pendant que le régime en place au Sénégal dirigé par le président @Macky Sall - dont la non candidature, non-événement vendu comme tel aux observateurs non avertis ; ce qu'on appelle une propagande - tente par tous les moyens de se maintenir par procuration à la tête de l'état. Voilà donc qu’il s’est choisi une « marionnette ». Dans un moment de CRISE nationale et plus encore mondiale, il n’y avait pas mieux à faire que de nommer un « chef de gouvernement » dont la seule et unique préoccupation sera de faire campagne. Trouvé !

L’HUMANITÉ.

UN PRÉTEXTE POUR DÉPASSER L’AMATEURISME ET LA CUPIDIDÉ

Voilà donc un mot régulièrement pour ne pas dire continuellement galvaudé, ramené à toutes les sauces au profit des dits intérêts vitaux, de survie, de développement des populations. Notamment de l’éducation, de la formation, et de l’occupation professionnelle et intellectuelle surtout de la jeunesse mais utilisé par ce régime dans tous les discours adressés à l’extérieur pour toujours mieux justifier la dépendance au pouvoir répressif et corrompu du "few" de tous les autres du "many".

J'ai dit Humanité ! D'autant qu'il y ait donc encore un sens à ce mot qui est avant tout, on l'oubli, la transcription écrit de ce que les êtres humains, et pas que, ont sentis, construit, théorisés et pour quelques rares moments sanctuarisés au fil de leur reconnaissance progressive et lente des Droits Fondamentaux, primordiaux, essentiels, inaliénables des individus.

Il est vrai qu’on peut en sourire. Au vu de tout ce qui se passe et de la force que l’économie a pris dans cette notion avant d’enfanter et presque se limiter à la seule notion de la « liberté ». Depuis cette émergence jusqu’à nos jours. La notion d’humanité réduit à la liberté a épousé les organes des gouvernements, leurs juridictions et les droits fondamentaux ainsi que des citoyens eux-mêmes laissant petit à petit son jumeau de naissance : la révolution !

Soit par désinvolture ou par ignardise ou par irresponsabilité ou tout et plus encore « les pouvoirs » actuels fond fie du jumeau. Un déni. Comme si cela n’avait jamais exister. Alors ils poussent têtes baissées les populations par le moyen du pacte : les institutions !

On tente de les définir par tous sortes de nom d’oiseaux dans le seul but de dissimuler et de disqualifier la chose simple que le monde sait désormais : les institutions ne sont pas l’instrument de des la liberté des peuples si ce n’est une simple expression. La formulation. Sa mise en œuvre.

La seule garantie c’est le peuple lui-même.

Il est parfois lent, tâtonnant, désorganisé… mais il ne cesse jamais de sonner à l’oreille de l’institution : je suis là ! Ne m’oublie pas ! Vies, jouis, profite mais ne m’oublie pas.

Article 11. | La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme ; tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi.

Article 12. | La garantie des droits de l'homme et du citoyen nécessite une force publique ; cette force est donc instituée pour l'avantage de tous, et non pour l'utilité particulière de ceux à qui elle est confiée.

« La Déclaration des droits de l'homme et du citoyen est née à l’été 1789 

Cependant j'attire l'attention, puisqu'il est question de faits de société, par précaution d'usage de la "raison" et/ou par nécessité première de mise à distance intellectuelle. Il est dans la "nature même de l'époque contemporaine - encore - qu'à chaque fois qu'on énumère une certaine "classe de mots" (humanité, développement, justice, démocratie...) les écoutants, les lecteurs, les regardants ou ceux qui cumulent y voient une couleur de peau et/ou une situation sur un hémisphère ou d'un pôle du globe...

C'est une mauvaise posture !

Nos maux actuels les plus profonds viennent d'abord du fait même que nous pensons par ces appartenances. Soit, pour certains, par culpabilité sociale, historique, subconsciente ou émotionnelle ou par victimisation légitime en plus des raisons du premier lot. Et encore...
Une posture qui, pour cette fois ci de ma part, n'exprime en rien un préalable du déni, ou "négation" ou un refoulement historique ni d'une appartenance ou un engagement quelconque, exprimée ou enfouie, par vertu ou à son corps défendant.
Ce n'est pas simple mais il le faut. Néanmoins, la connaissance par le vécu, par l'expérience que nous avons acquise, héritée d'un espace comme d'un autres doivent dans une certaine mesure, voire même régulièrement être interrogés si le but même de la démarche est la "rencontre" qui, qu'on le veuille ou non, construit continuellement une nouvelle réalité ; culturelle, économique, politique, intellectuelle et sociale en générale.

Ce que les grands poètes ont appréciés par "enracinement et ouverture", "créolisation"... terme miniaturisé puis galvaudé à des fins politici-politiciennes en "dés-intégration".

On peut donc la vouloir, la comprendre, la prendre en main et la façonner vers de nouveaux intérêts partagés, équitables, justes, continus.

Je suis là !

Si cet ESPACE que je veux, de toute mon énergie, MONDE vient à être réduit au statut de "CAMP", alors je l’écris avec un GRAND "C".
Du Commun, de la Construction et de la Concertation. En Continue.

Si malgré ces "mots" quelqu'un me cherche ailleurs, je n'y suis pas !

LE POISSON SE DÉSINTÉGRÉ PAR LA TÊTE.

ET MAINTENANT : LE SACCAGE DE L’ADMINISTRATION

Après la répression, emprisonnement, la brutalité, la torture, les mutilations, les tueries dont on attend toujours les enquêtes Monsieur @MackySall !, ils s'attaquent maintenant de façon frontale à la liquidation des institutions juridiques et les instances de l'organisation et de la régulation des élections présidentielles par des séances tenantes d'enquêtes et de mise en doute de la probité de hauts fonctionnaires, d'administrateurs de la fonction publiques, de magistrats par radiations, d'affectations.
Ce n'est pas nouveau.
Seulement là : nous sommes pressés. Nous avons un avenir, désirable et durable à construire.

Disons-le fort :

À chaque fois que le débat se situe du côté - strictement - du droit et de la justice, apparait au grand jour non seulement que le régime en tant que tel ne tient que sur la puissance de sa répression [son conseil constitutionnel, ses généraux, ses magistrats, sa police, ses nervis et la signature légère de son bien aimé chef] et de sa légalité. Oui ! Il ne s’agit pas malgré tout de remettre en cause la loi. Jamais ! Officiellement, même si on en est à la fin, le président a été déclaré élu au lendemain d'élections. On peut contester la clarté et l’état délétère dans lequel tout le cirque s’est déroulé mais le fait est accompli.


Cela dit, LA DEMOCRATIE tient justement à cela que la légalité ne fait jamais - automatiquement - ni la légitimité ni l'unanimité. Dans un premier temps on peut dire que c’est une démocratie en générale. Du point de vue du texte fondamentale. Nous convenons tous qu’elle ne peut qu’être dans ce cas que fragile.

Il s’agit dès lors d’inscrire cette légalité dans un travail politique qui consiste à non seulement s'élever au-delà des clivages mais également à l’inscrire dans une démarche qui qui a pour but de ramener les priorités de l'état à l'intérêt général. Seul instrument de validation qui par effet de réponse-résultat valide la notion même de président de la République.

Donc là aussi, on peut dire qu’on n’est jamais président en général.

C'est beaucoup trop pour une personne de disposer à lui seul d'autant de vie sans pouvoir formel de non pas de contestation mais de critiques réels puissent-elles même être radicale.

Ça ne peut être une affaire de personnes !

De débâcles en débâcles ils s'enlisent, se mêlent les pinceaux mais s'entêtent de délire en délire et plus

Je conclus en vous épargnant les parties de A à E et de ce qui suit dans la chronologie !

F / La grande débâcle de Ziguinchor
Au Sénégal le parrainage s'est ouvert depuis plus d'un mois. Des candidats déclarés, Ousmane SONKO est le seul à qui l'état par ses organes refuse de donner ses fiches de parrainage.

Par un revers de la main, Macky Sall avec son régime opère un recule de plus d’un demi-siècle de luttes démocratiques !

Une raison de plus pour se battre sur tous les terrains, surtout de stratégies, de l’intelligences mais surtout de PRAGMATISME !

 

  

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