SÉNÉGAL : UN RÉGIME PRÉSUMÉ DÉMOCRATiE !
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De la délégation a la dénégation
Il faut choisir
De l’esprit et de la mémoire
Nous avons muté en mal !
C'est la [crise] !
Contre un seul candidat !
Dérive de la raison
Pour toi
DE LA DÉLÉGATION A LA DÉNÉGATION
Un mandat comme un acte isolé d’une tierce personne suffit pour changer le
cours de l’histoire du monde. De même il suffit pour sombrer l’avenir d’un pays
pour plusieurs générations.
Les rapports que nous entretenons avec les faits ne sont en rien neutres. On ne
le dira jamais assez que dans tout fait subsiste une généalogie (Nietzsche),
une archéologie (Foucault), analyse (Freud), objectivation (Durkheim)... par
laquelle, s'il lui arrivait à échapper "aux instruments de défense, de
compréhension, de connaissances spontanées, quel que soit les subterfuges - de
l'être de service, du Sofiste, du doxosophe (doxa/sofos | P. Bourdieu)... - on peut toujours accéder à son
inconscient. Ses idées cachées. Vraies ou fausses.
La délégation est-elle synonyme d’abandon ?
La distance implique-elle ce silence assourdissant ?
Poser une question, s’interroger est-il devenu un acte de culpabilité ? De
compromission ?
La mort peut-elle devenir l’horizon de la patience citoyenne en démocratie ?
Serons-nous capables de défendre cet état de fait là où un « oui » ou
un « non » signe l’acte de décès ou le bagne ?
On a de plus en plus du mal à nous interroger.
Tous sous l’injonction, la menace, l’obligation de se positionner pour un camp ou pour un autre.
Paradoxe. Là où tous les camps disent œuvrer - de leurs propres mots - à la paix, à la justice, pour la tranquillité. Pour l’humanité.
Au mieux, peut-on encore la nuance qui implique une attention dépassionnée.
En wolof on dit « bul dégg teel né dameuna ! » [Ce n’est pas parce que ça
craque que c’est cassé !]
En "démocratie" - [puisque
maintenant la déclaration suffit ; c'est performatif !] - il n'y a pas pire
lâcheté pour ne pas dire trahison que d'utiliser la puissance non pas de la loi
mais de ses rouages pour s’arroger volontiers le chantre du bon mot.
S’autoproclamer détenteur et de surcroit désignateur, à tort donc, des
individus au-delà ou en deçà de l’arc civilisationnel. Le cordon de la vérité.
[Le pouvoir du peuple par le peuple et
pour le peuple !] Ces mots ne sont pas banaux. Si tu le penses c’est que tu
devrais les relire plusieurs fois de suite voir même tous les jours pour t’en
imprégner.
Il n'y a pas pire que de se cacher derrière le titre, la représentation, la
puissance de la voix et de la lumière de la « république » pour
diffamer et entraver la liberté de presse, d'opinion, de manifestation, de vie
sociale et de politique d'un individu ou groupe.
Il est pourtant clair qu'un point de [presse
n'est pas une cour de justice] et qu'un interview ou un communiqué ou un
formulaire ou le tweet ou [une tribune
n'est pas une sentence juridique]. C’est à la justice et à la justice seule
qui est loin d’être un corps autonome, étranger, de justifier tous et
absolument tous formes d’écarts. Sous la surveillance des administrées par le
jugement public et la participation citoyenne sous forme de jurés et sous le
contrôle et non sous l’influence ou la coupole de l’administrateur ou sous-élu
[nomination ; hors suffrage].
Voilà l’esprit !
Comme disent les sérères (ethnie / Sénégal) « le corps sans esprit est moins utile qu’un
tronc d’arbre. Car le dernier peut au moins servir de support, d’assise ou de
bois de chauffe »
C'est une inversion totale qui ne peut soit manifester [le déjà-la totalitaire] ou une pression à grandes enjambées vers le
[totalitarisme].
IL FAUT CHOISIR
Vendredi 17 : défendre la vérité @BassirouDiomayeFaye
Vendredi 17 : défendre la liberté à la candidature @Sonko
Vendredi 17 : combattre l’injustice @MackySall
Se taire dans la [panique], grelotter
dans son coin en attendant de goûter à son tour la bonne cuvée de mise au pas
aux notes de travail forcée et gratuit... de [mort sociale silencieuse]. De
mort tout court !
Se sentir concerné par tout et pour tous et s'ériger contre toutes [la dérive]. Aussi infime soit-elle et
contre qui que ce soit. Voilà le mot d’ordre. Il n'y a rien d'abstrait dans
cette description. Tout se passe sous nos yeux affables... habitués... normaux.
Banale !
DE L’ESPRIT ET DE LA MEMOIRE
Qui est qui ; avec qui ?
Qui pense quoi ; contre qui ?
Qui a quoi, qui croît en quoi ?
Qui est d'où, qu’est-ce qu’il va me prendre ?
Voilà le virus social !
Nous sommes tous infectés.
NOUS AVONS MUTÉ EN MAL !
Alors même que des vaccins existes : révolutions (anglaise (1688) américaine (avril
1775 / 1783) française (1789), les trois glorieuses (27, 28 et 29 juillet
1830), colonisation, esclave, cessation (1861-1865), guerre mondiale (14-18),
shoah, révolution russe (1917) guerre mondiale (39-45), Pearl Arbor, Hiroshima,
Nagasaki, Congo, Liberia, Rwanda, côte d'ivoire, coup d'état...
Il y a toujours un avant-fait ; une vraie raison comme dirait
[Nous ne savons plus par quelle voie les administrer]
La science est- elle impartiale ?
Les [gardiens de la mémoire] et des raisons placardées ou désignés comme les
vecteurs de la "discorde".
C'EST LA [CRISE] !
La crise de la démocratie, de la règle, des normes, et des lois.
Vous nous prenez pour qui ? Vous passez votre temps à parler et à répéter ces
mots alors que dans les faits votre hiérarchie est définie.
Ce qui n'est vous et ne crèche pas dans votre cour n'existe pas. C'est un
détail ! Tout acte de manigance de mensonge de manipulation et de condamnation
est bénéfique tant qu'elle permet votre maintien et fleuri vos jardins.
Tout le monde voit que vous êtes les seuls qui n'y tenez pas : ils vous servent
!
Terroriste, salafiste, homophobe voulant rétablir la peine de mort, violeur...
il n'y a plus assez de mots, assez faux, dans votre discours qui ne soient
dégoulinant de haine, de mépris et d’insanité. Il porte en lui une odeur
suspecte d'élimination d’un candidat.
D’UN SEUL CANDIDAT !
Jusqu'où ira votre mise en scène ?
La jeunesse brave la mer, la mort ou par chance les invectives, la traite, d'autres mensonges et d'autre insultes.
La mort !
Vous vous pavanez de sommets en sommets, de réunions en réunions signant
résolutions, accords et projets pour mieux fumer l'héritage des générations
futures.
La CDEAO et la Cour suprême rendent leur verdict demain !
A quand cette cacophonie ?
Quand le monde et les hommes - car tout
cela reste une histoire de mecs - deviennent fous, avoir raison ; une
vision claire du dessous macabre des cartes, les alliances véritables ; devient
un poison.
Pas pour les autres. Eux ils savent toujours reporter leur pudeur, caresser le
vice et vivre la face enfouie dans le déni. Le reflet du miroir ne leur renvoie
plus que leurs idées de « puissance ». Ce « pouvoir » !
Du faux !
Tout ce qu’il ne montre pas, c’est ce que vous êtes devenus :
l'ombre du désir et de la jouissance inique.
Vous vous armez de la bonne morale ;
Vous vous accoutumez à la posture qui sied ;
Vous vous exercez aux bons mots et aux verbiages serviles ;
Vous accommodant d'une bonne conscience.
Voilà votre cible. L’objet de votre plus haute estime : l'éloge de tout ce qui
désigne le vide pour mieux contourner les faits.
POUR TOI
Loin ! Trop loin pour la sensibilité et la compassion.
Oui toi qui tient le temps !
Car le pouvoir apparent, immédiat est entre tes mains ;
Tu contes l'instant et vois les secondes qui glissent,
S'écrasent ; elles ne font plus : tic, tac ! Tic, tac !
Ta médiocrité nous précipite vers la perte.
Sting !
Gling !
Blang !
À chaque fois avec un bout de science,
Un
morceau d'éthique,
Une part d'humanité.
Plus d’humanité !
Alors tu mords, enragé,
Effaces sans te
soucier,
Tu désignes, toi
l'ennemi de la bienséance,
En sorcières !
Bouc-émissaires !
Ton seul souhait est que l'humanité se résume à ta priorité :
Ta force avant le respect ;
Ton intérêt pour ne jamais penser l’entraide ;
Tu acceptes la soumission et jamais la liberté
;
Tu déclares la guerre pour une paix éphémère ;
fausse !
Le profit. Toujours le profit.
Jamais l'équité.
La vérité se mure maintenue sous la terreur pendant
que la nuance l’arase, le cœur gros.
Défaite
Pénombre
Silence
Disparition
O u b l i .
… . …
Mort du phénix !
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