13-10-24 | Justice, ton « amie » que tu ne veux pas voir

12-10-24 | « Je remercie le DG de la BADEA, Sidi Ould Tah, pour son aimable invitation à la retraite stratégique de la banque à Dubaï. Le panel de haut niveau sur les méga-tendances climatiques que j’ai présidé ce 12 octobre a porté sur des questions critiques pour le développement de l’Afrique, comme le réchauffement climatique, le financement de l’énergie pour l'accès universel à l’électricité, les énergies renouvelables et la transition énergétique juste et équitable. » 

 

13-10-24 | Justice, ton « amie » que tu ne veux pas voir

#ghost #international #MackySall #senegal #dakar


Nul besoin de se montrer en images réjouissantes
d'envoyer des bons en mots fleuris à la planète entière
La planète ! Encore faire semblant
Encore ! Faire croire que vous travaillez pour le bien et la paix
Croire ? Nous faire penser que vous cherchez l'autonomie et le bonheur des peuples... regardez-vous !
La Paix ? La colombe a beau porter Le Message, si la Terre n'est qu'éclats, de feu et de décombres elle ne peut qu'ajouter sa fin au malheur déjà bien criant

Des cris ! Un dicton sérère dit « on n’oblige pas l'adulte à voir le ciel » ;
D'abord parce que c'est bête ; Même enfant on sait déjà où il est, le ciel. Nul besoin de creuser mille paliers sous terre. C'est l'éléphant dans la pièce, le ciel ! Dans ton propre doute - qui peut être aussi une turpitude - si c'est juste pour le lui imposer de force, il a le choix de fermer les yeux ou bien tout simplement jamais admettre voir autre chose que le champ de maïs de sa grand-mère...

Le Réel ! Fermez les yeux ! J'essaie de comprendre
...vous avez bon droit et liberté sur votre vie...
Pourtant, à ce qu'il me semble, vous avez tout fait pour l'ôter à d'autres ; Vos Adversaires dites-vous !

Au nôtre ! Vous voici en chair et en une
Tout en blancs vêtu, serein, souriant, confiant... Tranquille !

Regardez-le !
Libre ! Voilà qu'on lui « offrit » ...
Libre de sa l'attitude et tout compte fait... il nous nargue

Non ! On aimerait rêver et qu'il soit un mauvais cauchemar avec les yeux bandé et des genoux qui s'obstinent à rester pliés
Pourtant le voilà
Ah oui... c'est bien non ! Il n'a rien d'un phœnix et Il semble vivre de sa plus belle vie
Oh, c'est qu'il rayonne
Mais qu'il est beau

Est-ce donc notre image qui sombre
Et le devoir de réserve
Et le poids de la mémoire
Toutes ces images d'un futur radieux,
Clair et étincellent

Et nous
On ne sent que le fer qui se redit
À chaque instant sur nos points, gorges serrées, on étouffe de tous les maux qui remontent des entrailles
lynchage orchestré puis savouré à pleine dents
calomnie et l'infamie langagière
torture ciblée et gratuite
la prison sans préavis ni jugement
les accusations et les barricades arbitraires
gaz nocifs et les bombes hilarantes
... de mort, de sang, de larme, de pleure, de solitude, de faim... le malheur

Silence et fin...
... à la ligne
Tout cela n'a jamais existé
L'international se f..t-elle.. disons : ignore-t-elle de la Justice ?
Peut-être pas !
En attendant, il marche à côté d'elle, feint de ne pas la voir. Nous faisant croire qu'il n'est pas avec elle.

Vas ! Oui vas toujours
L'image parfaite de ce monde aux rêves fou d'humanité et d'universalisme qui se fourvoie dans son internationalisme géopolitico-guerrière, amnésique et mortifère

On devrait presque applaudir pour vôtre réussite dans ce "concert des nations" comme vous aimiez tant l'imposer
Le concerto on l'entend pleine de batterie, de sifflements et d'éclats... et de buées rouges de sang et de gravats
Et franchement, ce n'est pas resplendissant. Ça file même la g..be… disons nausée !

Et les nations
Elles respirent la transparence
Pas des informations ni des lois
Pas des médias ni des élections
Il y a néanmoins des trous et des passoires
Des guets et des tranchées
Des trous et du flou
Partout des fous
On s'en fou de tout par Toutatis !
Bon sang Mauvais sang
Larmes de joie Armes de peine
Capital sans frein
On dit sans foi et on tue frais
Et ton amie ? Toujours là ! À portée d'une main

Ignorée et dénigrée, diffamée et travestie
Pourtant jamais lasse d'être là. A portée de nez
Pourtant : toujours là car telle est son destin
Tout le monde le voit. S'en détourne de peur
Bien plus souvent de lâcheté sous prétexte de distance, d'ignorance
Et un jour, tout se calme
Comme si de rien été, ragaillardis
Comme affligés, le monde se réveille
compte ses os et pèse ses cendres

Et « l'homme », allégé et aride de d’humanité

Tend la main… sur son épaule
Ah Justice ! t'es là

 

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