Gasp !

Gasp !

Égard d’un pouvoir.

… pouvoir … oui !

… de quoi sourire … mais le moment est grave !

… génies fainéants !

… saboteurs patentés !

… surement ;

… ressuscités !

… récidives !

D’un malheur l’autre ;

14 vies perdues, sacrifiées, oubliées (…) sans nom ni conséquence.

On sème la faute et déglutine de ses déboires ;

Toujours honteux et triomphant sans honneur ;

Sans grandeur on se gorge; on s’illustre d’injustice !

Cupide ou défit à sa nature propre ;

Qui sait? Signes probants !

… !

... !

… la voici, comme un cyclone,

Fou,

Rageux, sans cÅ“ur ni loi… il vous rattrape !

Hum hum (…) ; Ça ne sent pas bon !

 

Ça ne sent pas bon du tout : ce moment que vous chérissez tant, celui du chaos, devrait être mort-né dans vos cervelles ; par modestie et/ou par peur ! C’est la valeur ultime si on veut conserver la construction sociale : la peur !

 

Votre façon de faire de la politique nie constamment la différence ;

enjambe régulièrement les espérances et conspue inlassablement l’intégrité qui nous a menée à la stabilité : foi à la religion mêlée aux coutumes qui mettent les anciens à hauteur des esprits et la paix au cÅ“ur des projets de la Nation et au centre des ambitions sociales de la République.

 

Cette idée qui suppose que quel que soit le différent, il existe une autorité, un socle commun – non abstrait - une croyance commune toujours capable de damer les cÅ“urs, reposer le dialogue et même la dispute autour de la table. Ce n’est ni un récit, ni un dogme : c’est une construction commune continue !

 

Oui : j’écris avec colère. Une colère saine et non résignée. Je ne peux me résoudre au détour face à ce désordre même si je crois à l’opportunité d’une crise. Mais ma colère n’est pas une haine de la même façon que votre rivalité ne devrait pas prendre notre espace et nos vies, notre sécurité et nos projets d’autodétermination en otage.

C’est une chose de faillir mais s’en est une autres et ce n’est nullement acceptable d’installer le chaos !

Jusqu’ici vous avez couvert de honte le travail de multiples générations, l’héritage et le patrimoine indépassable du peuple sénégalais : cousinage et le « dialogue » [non, je veux dire l’Unité] entre toutes les ethnies et entre les religions ; Cette belle réalité non tombée du ciel mais construite ; comme devrait être la politique et la justice sociale.

Vos pseudos stratèges transfuge et vos colporteurs effrontés et de surcroit audacieux pensent connaitre l’histoire et pouvoir dominer l’intérêt public mais ils ignorent tout ; Totalement !

Cette misère autour que vous daignez ignorer !

Cette priorité ambiante autour de la vie chère et des conditions déplorables des habitants ne semble-t-il donc pas vous défigurer !?

 

Non ! Trêve d’émotions ? Déficit d’amour propre ? Crise d’idées ?

Y a un objet : c’est tant que les graines de blés bien polies glissent gracieusement dans vos gosiers béants et insatiables, les gens… là ! ... oui là !!!... Tout autour de vous restent invisibles.

Et l’honneur ?

Et la patrie ?

Et le commun ? Rien !

Rien de tout ça ne vous émeut ! Plus rien !

Pourquoi ?

Oui mais : jusqu’à quand ?

Ce peuple, blessé, dépassé, nié, dupé, … semble pourtant guérir, grandir, mûrir, déterminé à en finir avec cette façon : la vôtre !

Décidé… et va résister.

Le soleil et la chaleur ne suffit plus : ce peuple veut sa lumière !

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> Petit texte partagé sur Facebook le 8-11-2022 <

 

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